Le rôle de Georges Pompidou
Georges Pompidou devient membre du conseil constitutionnel en 1959. Il exerça
des années durant pour la compagnie Rothschild jusqu'à en devenir Directeur
Général. Georges Pompidou s’installa à l’Élysée le 15 juin 1969. Son
mandat fut écourté par son décès le 2 avril 1974 à Paris. Le 3 janvier
1973, réforme de la Banque de France. L'article 25 de cette loi bloque toute
possibilité d’avance au trésor :
« Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à
l’escompte de la banque de France. »
Pour résumer, l’article 25 de la loi 73-7 du 3 janvier 1973 interdit à la
Banque de France de faire une avance monétaire à taux zéro à l’État,
condamnant la France à se tourner vers des banques privées et à payer des
intérêts cumulatifs. La hausse "exponentielle" de la dette publique trouve
son origine précisément là.
Ci-joint, un graphique représentant l’évolution de la dette, avec et sans
intérêt.
La courbe rouge représente la dette constatée, calculée avec les
intérêts.
La dette à fin 1979 était de 239 milliards d’euros (*), déjà
injustifiables ; la dette à fin 2008 s’établit à 1327 milliards d’euros !
Ainsi, entre 1980 et 2008, la dette a augmenté de 1088 milliards d’euros et
nous avons payé 1306 milliards d’euros d’intérêts. 1327 - 1306 = 21
Milliards d’Euros ! : Si nous avions pu créer notre monnaie — faire
exactement ce qu’ont le droit de faire les banques privées —, la dette
publique serait quasiment inexistante aujourd’hui.
NOTE (*) : La dette à la fin 1979 était en réalité de 82,8 milliards
d’Euros, soit 21% du PIB ; mais en tenant compte de l’inflation, cela fait
aujourd’hui 239 milliards d’Euros
.
des années durant pour la compagnie Rothschild jusqu'à en devenir Directeur
Général. Georges Pompidou s’installa à l’Élysée le 15 juin 1969. Son
mandat fut écourté par son décès le 2 avril 1974 à Paris. Le 3 janvier
1973, réforme de la Banque de France. L'article 25 de cette loi bloque toute
possibilité d’avance au trésor :
« Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à
l’escompte de la banque de France. »
Pour résumer, l’article 25 de la loi 73-7 du 3 janvier 1973 interdit à la
Banque de France de faire une avance monétaire à taux zéro à l’État,
condamnant la France à se tourner vers des banques privées et à payer des
intérêts cumulatifs. La hausse "exponentielle" de la dette publique trouve
son origine précisément là.
Ci-joint, un graphique représentant l’évolution de la dette, avec et sans
intérêt.
La courbe rouge représente la dette constatée, calculée avec les
intérêts.
La dette à fin 1979 était de 239 milliards d’euros (*), déjà
injustifiables ; la dette à fin 2008 s’établit à 1327 milliards d’euros !
Ainsi, entre 1980 et 2008, la dette a augmenté de 1088 milliards d’euros et
nous avons payé 1306 milliards d’euros d’intérêts. 1327 - 1306 = 21
Milliards d’Euros ! : Si nous avions pu créer notre monnaie — faire
exactement ce qu’ont le droit de faire les banques privées —, la dette
publique serait quasiment inexistante aujourd’hui.
NOTE (*) : La dette à la fin 1979 était en réalité de 82,8 milliards
d’Euros, soit 21% du PIB ; mais en tenant compte de l’inflation, cela fait
aujourd’hui 239 milliards d’Euros
.